Festival international du journalisme : Jour 4
Le festival de Perugia perdra sa dimension internationale à minuit. Demain, les conférences exclusivement en italien reprendront leurs droits. Retour sur ce quatrième jour
Léo Corcos
9h30. On ne perd pas de temps, et on se rend à la conférence de Declan Hill, docteur en criminologie et journaliste d’investigation, qui a réalisé une célèbre enquête sur la corruption dans le football
Un peu de sport pour commencer ce dernier jour au #ijf18 avec @declan_hill , journaliste d'investigation et docteur en criminologie, qui parle de la corruption dans le football@journalismes pic.twitter.com/ozlX4P2zvF
— Léo Corcos (@LeoCorcos) April 14, 2018
10:15. Direction la Turquie, où l’on aborde la délicate question des libertés médiatiques dans le pays.
"In Turkey any expression critical of the government – even a simple tweet – can be presented to the judiciary as evidence of a crime. You can be accused of being a traitor, a foreign agent, a PKK member, a Gulenist or simply a criminal.” @yavuzbaydar4 #ijf18 pic.twitter.com/s8bpd6ocm4
— journalism festival (@journalismfest) April 14, 2018
Au même moment, et alors qu’il est quotidiennement au coeur de l’actualité, Donald Trump est sur toutes les lèvres lor de la conférence sur la montée de la droite radicale.
Aussi présente, la Commission Européenne, venue discuter de ses rapports avec les médias.
Prise de parole de @FrancoFrattini, commissaire européen de centre-droit. Il a notamment été vice-président de la @EU_Commission. Il a aussi été ministre des affaires étrangères dans le gouvernement Berlusconi IV. #ijf18 @journalismes pic.twitter.com/gTK0Q3bQSM
— Raphaëlle Griffon (@GriffonRaph) April 14, 2018
11h30. Autre sujet d’importance majeure, les violences faites aux femmes, notamment dans les rédactions.
12h. Autre sujet épineux, car très peu médiatisé : le conflit au Yémen.
Pour @ionacraig , Les médias internationaux n’ont jamais vraiment couvert le conflit au #Yémen, même s’ils ont essayé d’y accéder. Problème, impossible d’obtenir les autorisations nécessaires. Ensuite, le coût : jusqu'à une dizaine de milliers de dollars @journalismes #IJF18
— Boukhelifa Florine (@_FlorineB) April 14, 2018
14h. Nouvelle conférence sur le sujet des fake news, avec des journalistes russes pour témoigner de la situation dans leur pays.
17h45. Une foule immense était là pour Omar Mohamed, de Mosul Eye. Tous n’ont pas pu rentrer. Son témoignage a en tout cas marqué les esprits
Autre sujet prégnant : la crise migratoire.
« Le problème en Libye c’est la quantité d’armes disponible, c’est une des plus importante du monde » @nancyporsia, journaliste freelance, témoigne au sujet de la crise migratoire en Méditerranée au #ijf18 @journalismfest @journalismes pic.twitter.com/3GUUIgDhdG
— Antonin Gaudot (@Anto_Gdt) April 14, 2018